Edito

Vive le vent

01 février 2018

« Vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hiver… » Commencer en chanson ce mois de février, en voilà une idée originale. En voici la raison. En ouvrant les volets un matin, une rafale de vent froid a fouetté mon cerveau. Embrumé, il ne trouvait plus l’inspiration pour rédiger cet édito.

« Vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hiver… » Commencer en chanson ce mois de février, en voilà une idée originale. En voici la raison. En ouvrant les volets un matin, une rafale de vent froid a fouetté mon cerveau. Embrumé, il ne trouvait plus l’inspiration pour rédiger cet édito. Que dire ? Comment le dire ? Quel message faire passer sans être moralisateur ? Comment intéresser les lecteurs ? Et voilà qu’un grand coup de vent d’hiver a tout chamboulé et tout remis en place. La réponse était devant mes yeux.

Un vent nouveau souffle sur votre magazine. Il tourne doucement les pages pour vous faire découvrir son contenu. Et le résultat est là ! Votre journal vous plaît, il vous intéresse, il vous passionne. Au moment où j’écris ce texte, nous recevons vos réabonnements. Des piles de courrier nous arrivent et nous avons souvent le plaisir de découvrir des petits messages nous remerciant pour le travail accompli et de l’intérêt que vous portez à notre magazine. Sachez que nous vous en sommes réellement reconnaissants.

J’ai réalisé que nous cherchons souvent à attirer de nouveaux lecteurs, que nous insistons sur la perte de nos abonnés… Mais nous avons oublié l’essentiel, vous. Vous qui depuis des années êtes abonnés au Cep, nous vous disons merci !

Mais ce souffle d’hiver apporte aussi d’excellentes nouvelles, je suis depuis longtemps un ardent défenseur de l’outil pédagogique Le Cep. Il est en effet possible d’utiliser le magazine comme un outil de travail en paroisse, dans les différents groupes. Et je viens de découvrir qu’en ce début d’année Le Cep est utilisé, manipulé, trituré sous toutes ses coutures dans certaines paroisses pour en sortir la substantifique moelle. Vous êtes et resterez nos meilleurs ambassadeurs et c’est vous qui pouvez le mieux parler du magazine.

On a coutume de dire Dieu y pourvoira. En effet, Dieu y pourvoit par le souffle de l’Esprit. Mais… donnons-lui un coup de pouce et que ce souffle porte notre message !

Nicolas Boutié
journal Le Cep

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