Ceux qui osent parler de Dieu

01 décembre 2016

Longtemps, Dieu s’est caché. On l’avait congédié.

Jacques Brel avait laissé le Bon Dieu si visible dans les chansons de ses débuts que Georges Brassens l’avait surnommé « l’abbé ». Mais il lui réglait son compte, comme dans La, la, la, en 1967 : « Quand viendra l’heure imbécile et brutale/ Où il paraît que quelqu’un vous appelle/ J’insulterai le flic sacerdotal/ Penché sur moi comme un larbin du Ciel ». Et voilà pour l’Église, le clergé et la métaphysique tout ensemble. Pendant quelques décennies, Dieu ne s’entend guère dans les chansons que...
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Bertrand DICALE
journaliste

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